19 septembre 2009

 

 

Ancienne église Ste-Cécile

 

 

Loge m’entraide arrête

ses démarches et remet sa lettre

dans son classeur

 

Loge m’entraide était intéressé à se porter acquéreur de l’ancienne église Ste-Cécile de Jonquière en début semaine mais seulement quelques jours auront permis de voir plus clair dans ce dossier.  En effet, la coordonnatrice de Loge m’entraide Sonia Côté a appris en début de journée que la vente de l’église Ste-Cécile est maintenant dans les mains d’un agent d’immeuble : « Un agent d’immeuble est sur le dossier et demande 349 500 $… vous comprendrez que c’est hors de prix pour nous et cette information vient mettre un terme à toutes nos démarches que nous désirions entreprendre avec M. Reid directement ».  

Loge m’entraide était intéressé à se porter acquéreur de l’ancienne église Ste-Cécile de Jonquière en début semaine mais seulement quelques jours auront permis de voir plus clair dans ce dossier.  En effet, la coordonnatrice de Loge m’entraide Sonia Côté a appris en début de journée que la vente de l’église Ste-Cécile est maintenant dans les mains d’un agent d’immeuble : « Un agent d’immeuble est sur le dossier et demande 349 500 $… vous comprendrez que c’est hors de prix pour nous et cette information vient mettre un terme à toutes nos démarches que nous désirions entreprendre avec M. Reid directement ».  

En effet, Mme Côté a reçu un appel d’un agent d’immeuble en début de journée l’informant qu’il avait été mandaté pour vendre cet immeuble religieux. Ce dernier a demandé à Mme Côté de bien vouloir communiquer avec lui pour toutes questions ou négociations concernant la vente de l’église Ste-Cécile.  

La lettre restera morte 

Sonia Côté mentionne qu’une lettre adressée à M. André Reid et prête à être postée vendredi en fin de journée pour réclamer une rencontre avec ce dernier et ainsi discuter de cette vente : « Nous désirions rencontrer M. Reid pour regarder ensemble les possibilités de convertir cette église en une Coopérative d’habitation afin de combattre la pauvreté. Devant le peu de ressources financières que nous avons, nous lui proposions une vente symbolique pour des fins humanitaires. Mais la lettre restera pour le moment dans mon classeur ».  

Souhait  

Bien qu’elle est tout de même réaliste, Mme Côté ne cache pas qu’elle souhaiterait que M. Reid revienne en arrière : « Devant le fait que cette bâtisse est hors de prix pour nous et qu’il aurait été certainement possible de la  convertir en une Coopérative d’habitation et ainsi loger de nombreuses familles appauvries, nous souhaitons que M. Reid revienne en arrière et puisse vendre lui-même cet immeuble à moindre coût ».  Sonia Côté laisse entendre que sa porte sera toujours ouverte dans un tel cas.

 

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